Comme Satan Worshipping Doom et Miserable, Terminal est un album qui vraiment toute son ampleur quand il est écouté d'une traite car il s'agit d'une lente agonie qui s'étend sur presque trois-quarts d'heure. Les sonorités psychédéliques propres à Bongripper sont absentes et le stoner/doom metal du quartette tend plutôt vers une sphère atmosphérique (certains arpèges de "Slow" ne sont pas éloignés de celles de Earth) voire funéraire et la mort finit par s'imposer comme la seule évidence possible. Jordan Vauvert
Floor-to-ceiling Boris ragers! It’s like they looked back on songs like Statement and Woman On the Screen and said “let’s do a whole album like that!” Most of these tracks don’t even pass 3 minutes! Zerkalo holds up the middle with some anguished doom.
In the end, *NO* is as strong and declarative as it’s title. Brian Parker